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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO

le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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7 décembre 2007

Point de vue sur la culture à Aix

logo_entre_peaux

L'association "Entre-peaux" a résumé ainsi son regard sur la culture telle qu'elle est menée à Aix. Un témoignage vivant qui invalide une bonne partie de la propagande municipale. L'association fait des propositions pratiques pour qu'une place soit enfin faite aux musiques actuelles.

"La culture ne demande pas à être inventée,

elle ne demande qu'à s'exprimer !"

A travers des financements non maîtrisés, l’ensemble des musiques et expressions actuelles a été oublié :

  - absence de lieux

  - carence des structures éducatives

  - gaspillage des deniers publics

  - choix non adaptés à la demande aixoise

  - attitude de mépris envers la jeunesse

  - aucune concertation avec les opérateurs culturels locaux…

Nous avons décidé de montrer l’impact économique, politique et culturel des jeunes dans cette ville.

Nous demandons :

- une meilleure concertation entre les institutions et les opérateurs culturels locaux

- la remise en état de fonctionnement des outils culturels existants

- la création d’un pôle culturel de la musique et des expressions actuelles en Pays d’Aix

- un partage équitable des subventions ou investissements, qu’ils soient municipaux, régionaux ou nationaux

- une lisibilité dans la politique culturelle de notre ville et du pays d’Aix

- un interlocuteur unique : adjoint à la culture, compétent, à l’écoute, capable d’autorité et d’esprit critique aiguisé

- que les associations culturelles soient enfin reconnues comme de véritables interlocuteurs

- la requalification du Grand Théâtre de Provence et de ses locaux annexes, aujourd’hui inutilisables pour les réels besoins (rappelez-vous que le stadium de Vitrolles est fermé et saccagé pour ne pas avoir été adapté à la demande des publics)

A l’ensemble des élus et futurs élus, nous demandons en urgence de réagir pour mettre en œuvre une politique culturelle ouverte à tous sans oublier cette jeunesse que vous nourrissez aujourd’hui d’académisme, de prétention culturelle, sinon d’un grand vide intersidéral, qui la pousse inévitablement à un rejet global réactif.

Le site de l'association : www.entre-peaux.fr 

(Lire, à la rubrique "actualités" du site, la lettre de Joissains en 2002, une réponse qui ne manque pas de sel lorsqu'elle désigne Genzana, pas chargé des musiques actuelles, pour répondre de manière technique à l'association. A ce jour, Genzana n'a jamais répondu !)

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7 décembre 2007

Le débat sur le code du travail reporté

L'Assemblée nationale a interrompu, mercredi, l'examen du projet de loi de refonte du code du travail, car le quorum (présence d'au moins 50% des députés dans l'enceinte de l'Assemblée) n'était pas atteint. Résultat : les débats dans l'hémicycle ont dû être suspendus et la suite reportée à mardi prochain.

Les députés n'ont pas achevé dans la nuit de mardi à mercredi l'examen de la loi ratifiant l'ordonnance du 12 mars 2007 relative au code du travail. Une ordonnance qui réécrit ce texte qui régit la vie de 17 à 18 millions de salariés, et que le Sénat a déjà ratifiée le 26 septembre.

L'opposition a défendu, mais en vain, des dizaines d'amendements. Mercredi matin, les députés ont adopté plusieurs amendements de l'opposition replaçant dans le domaine législatif des dispositions que le projet de loi transposait dans le domaine réglementaire.

6 décembre 2007

Municipales : Les balles sifflent...

Les balles sifflent fort. Ça tire dans tous les coins. Dans les coulisses, dans les réunions, dans les médias et sur les blogs. Je crains que la campagne électorale tourne vinaigre. Dans le pire des genres, la palme revient aux divorcés politiques, aux infidèles et aux chercheurs de nouvelles moitiés.

On entend tout et le contraire de rien. Des gens peu au fait de ce qui se trame dans les boutiques politiques jouent les télégraphistes savants en colportant les toutes dernières tumeurs à la vélocité de la… rumeur. Sans compter ceux qui déforment tel ou tel propos quand et comme ça les arrange. En trois jours, j'ai entendu tant d'âneries que le gros bœuf de la crèche risque bien de voir débarquer d'ici peu un énorme troupeau de petits équidés gris à son côté.

On pardonnerait volontiers à certains citoyens de n'être pas au courant de tout. Mais, que des élus, censés être informés par leurs chefs de file préférés sur leurs intentions, dissertent comme au café du commerce, ça me coupe le souffle. Cela en dit long sur l'esprit soi-disant d'équipe qui règne entre des individus prétendument amis.

Pour couronner le tout, j'ai même rencontré des élus sortants qui m'ont demandé si leurs leaders m'avaient confié quelque chose à leur sujet. Ben oui, mais, dans ces cas-là, sachant que les mots peuvent faire plus mal qu'une arme, je m'oblige à être parcimonieux en paroles. Je ne vais quand même pas leur faire de la peine en leur révélant le sort qui les attend !

6 décembre 2007

La bataille sur la refonte du code du travail

logo_challenges

La bataille fait rage au Palais Bourbon. On parle de "simplification" mais on s'apprête à augmenter le nombre d'articles du code du travail. Le but du gouvernement ? L'élimination de bon nombre de protections sociales des salariés, on ne peut pas dire autrement. L'opposition a dénoncé un texte "scandaleux".

Voici le point de situation qu'en fait la revue Challenges le 5 décembre 2007.

L'Assemblée nationale n'a pas achevé dans la nuit de mardi à mercredi l'examen d'une loi ratifiant l'ordonnance du 12 mars 2007 relative au code du travail. Une ordonnance qui réécrit ce texte qui régit la vie de 17 à 18 millions de salariés et que le Sénat a déjà ratifiée le 26 septembre.

Le vote du projet de loi a donc été reporté à mercredi 5 décembre dans la matinée. L'opposition a défendu, mais en vain, des dizaines d'amendements. A la levée de la séance, vers 2 heures, 4 amendements PS avaient été adoptés dont l'un rétablissant la consultation du comité d'entreprise sur une augmentation de la durée maximale du contrat à durée déterminée en cas de commandes exceptionnelles à l'exportation. Pour le reste, les députés ont entériné la version votée par le Sénat.

"Déclassification" et "éclatement"

Le débat a été très polémique, puisque l'opposition et les syndicats ont protesté contre un texte "scandaleux" et "dangereux", qui remet selon eux en cause les droits des salariés. "Cela devait être une recodification à droit constant, une procédure normale pour rendre un texte lisible et accessible", or on a "un texte qui va modifier le fond du droit" aux dépens des salariés, s'est ainsi indigné le député PS Alain Vidalies.

Martine Billard (Verts) s'élève contre "le silence total" dans lequel s'est faite cette recodification à laquelle l'Assemblée a prévu de consacrer "moins d'heures de débat que pour le texte sur les chiens dangereux". L'opposition avait prévu de défendre trois motions de procédure et environ 150 amendements sur le texte, critiqué sur trois points.

Le premier est la "déclassification" de 500 articles, qui passent de la partie législative du code à sa partie réglementaire, et seront plus facilement modifiables, par décret. Le deuxième est "l'éclatement du code du travail" par le transfert de dispositions vers des codes parallèles comme le code rural, le code maritime ou le code des transports. Roland Muzeau (PCF) juge ainsi que "l'atomisation du code du travail est le pire des dangers qui guettent les millions de salariés". Selon l'inspecteur du travail Richard Abouzit, les salariés agricoles "perdront le 1er mai comme jour férié et l'affichage du nombre d'heures travaillées ne sera plus obligatoire".

1.761 articles supplémentaires

Le troisième point qui suscite des critiques est l'adjonction "de 1.761 articles supplémentaires" (*). Martine Billard s'inquiète ainsi "d'ajouts ou de suppressions significatifs" comme le fait que "le travail dominical sera désormais subordonné aux besoins du public".

L'inspecteur du travail Gérard Filoche, membre du conseil national du PS, s'élève contre "la suppression du doublement des indemnités de licenciement accordé en 2002" et "le partage des obligations en matière d'hygiène et de sécurité entre l'employeur et le salarié".

La CFTC, elle, dénonce le "nouveau visage" du code et regrette que "les formules traduisant une obligation, comme 'doit' ou 'est tenu', traditionnellement employés dans le code du travail, aient toutes disparu au profit du simple verbe conjugué à l'indicatif présent". Elle se félicite néanmoins d'avoir obtenu "le maintien en partie législative de l'article relatif à la procédure d'urgence instituée au bénéfice des salariés titulaires de contrat de travail à durée déterminée (CDD) leur permettant d'obtenir la requalification de leur contrat en CDI".

Parisot sceptique

Face à ces critiques, la rapporteure du projet, Jacqueline Irlès (UMP), défend un texte qui "permet de rendre plus accessible le code du travail, sans modifier le contenu", et qui va "permettre d'insérer des dispositions votées récemment" comme "la formation des femmes reprenant une activité", ou de "combler des oublis en matière de congé maternité".
La présidente du Medef, Laurence Parisot, reste sceptique. "Cette réforme se fait à droit constant, cela veut dire qu'on ne change rien sur le fond et je ne suis pas sûre que cette réforme soit réussie", a-t-elle déclaré mercredi sur France 2. "Je crois qu'il faut que l'on apprenne à faire simple, à faire efficace en France, il faut travailler le comment".

* Le code du travail contient 2.400 pages, soit près de 2.000 articles.

5 décembre 2007

Maires et citoyens : Construire ensemble

Les_maires_de_France

(Clic sur l'image pour agrandir)

5.000 maires de France,

photo panoramique 360° de "Arnaud Février et Daniel Donzel pour l’AMF"

A la demande de l’Association des Maires de France, l’institut CSA a réalisé un sondage (publié le 27 octobre 2007) sur les attentes des citoyens à l’égard de leurs maires en vue de son 90ème Congrès. Il s’agissait en particulier d’aborder les thèmes suivants :

        -- La ruralité ;

        -- La démocratie représentative et la participation des citoyens ;

        -- Le citoyen dans l’intercommunalité ;

        -- L’impôt local ;

        -- Le développement durable.

J'en ai extrait quelques passages que je vous livre ici.

I. Le débat rural : attirer ou maintenir les services tout en préservant le cadre de vie 

Une approche réaliste de la vie dans une commune rurale

Interrogés sur l’idée qu’ils se font de la vie dans une commune rurale, les Français y associent surtout du positif : un environnement de qualité (44%), de la convivialité (33%), mais aussi du négatif, comme les difficultés pour trouver un emploi (33%) et l’insuffisance de commerces et de services publics (32%). En fin de liste apparaissent l’isolement (18%) et le niveau élevé de sécurité (14%).

En cohérence avec l’idée positive qu’ils s’en font, 68% des Français affirment préférer vivre à la campagne. La campagne bénéficie surtout du plébiscite des 30-49 ans (75%), âge des parents ayant des jeunes enfants qu’ils aimeraient voir grandir à la campagne, alors que les plus jeunes et les plus âgés s’imaginent davantage en urbains.

Remarquons que les habitants de commune rurales confirment leur choix (88% préfèrent habiter à la campagne), en revanche, seuls 54% des habitants de ville centre préfèreraient vivre à la campagne. En effet, 61% des Français estiment que la priorité des maires de communes rurales devrait être d’attirer ou de maintenir des services de proximité, et 56% de préserver l’environnement et la qualité de vie.

Les deux principaux services publics jugés essentiels à la vie d’une commune rurale sont l’école (67%) et l’hôpital à moins de 50 kms (61%). La Poste arrive en troisième position avec près d’un tiers des suffrages (30%), suivie par la gare SNCF à moins de 20 kms (19%) et la maison de retraite (8%).

          

II. Démocratie représentative et participation des citoyens : un désir de participer davantage aux décisions publiques notamment à l’échelon communal 

Le Maire : l’élu le plus à l’écoute des préoccupations des citoyens

Invités à déclarer ce qui leur venait spontanément à l’esprit lorsqu’on leur parle du maire d’une commune, 83% des Français ont utilisé des expressions ou des phrases positives, et seuls 9% des expressions ou phrases négatives.

Les premiers ont décrit le maire sous un jour favorable comme "le responsable de la ville, le gérant de la commune" (24%), comme quelqu’un "ayant la responsabilité du bien-être des habitants" (10%), un élu "proche" (8%) et "à l’écoute" (8%). Les seconds ont déclaré avoir une mauvaise image des maires (3%), élus ne "faisant pas grand-chose" (2%) ou "rencontrant des problèmes" (2%).

Une attente de participation citoyenne et associative

Ce constat d’impuissance ne satisfait pas les Français et la grande majorité d’entre eux souhaiteraient être davantage consultés.

Dans ce cadre, les associations sont perçues comme des organisations ayant un rôle central à jouer dans la démocratie participative.

III. Le citoyen dans l’intercommunalité : une structure qu’il connaît mal mais dont il perçoit positivement l’essor 

La structure intercommunale est un échelon mal connu suscitant peu de sentiment d’appartenance.

IV. Le citoyen et l’impôt local : une demande de clarté et d’équité 

Impôts locaux : une attente d’information concernant l’usage, le montant et la répartition entre collectivités et une plus grande prise en compte des revenus pour une plus grande équité entre citoyens

Si une réforme de la fiscalité locale était mise en place, près de la moitié des Français (46%) souhaiteraient voir adopter comme axe prioritaire "une plus grande équité entre les citoyens".

En cohérence avec le souci de l’équité, 73% des Français se disent favorables à ce que le niveau de revenu soit davantage pris en compte dans le calcul du montant de la taxe d’habitation et de la taxe foncière.

Enfin, 83% des Français se disent d’accord pour qu’une partie des ressources des communes les plus favorisées soit réattribuée à des communes plus pauvres.

V. Le développement durable : un changement de pratiques pour tous au quotidien 

Développement durable : un concept mal connu

Seuls 42% des Français déclarent avoir une idée précise de ce qu’est réellement le développement durable.

Lire la totalité du sondage :

http://www.amf.asso.fr/actualites/upAMF/AMF_20071117113502.doc

Le site de l'AMF :

http://www.amf.asso.fr

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4 décembre 2007

De l'autre côté des blogs…

Les noms les plus "tapés"

Je prends toujours un malin plaisir à consulter le nombre de connexions sur mon blog. Canalblog fournit aussi à chaque administrateur de multiples tableaux et graphiques qui permettent de suivre les parcours des visiteurs et les pages les plus populaires.

En outre, on peut mesurer les pics horaires de fréquentation et les provenances, c'est-à-dire les voies par lesquelles les lecteurs ont abouti à mon adresse. Selon les sujets traités, on peut distinguer les accès directs, par les personnes ayant mis mon adresse dans leurs favoris, et les accès par liens qui les dirigent vers mon blog. Pour ce faire, nombre de connectés tapent des mots clés.

L'abondance et la diversité de mes articles offrent ainsi mille et une portes d'entrée. Parfois, certains se contentent de taper mon seul nom – serait-ce un signe de notoriété ? – et débarquent sans encombre dans mon univers.

Depuis quelques semaines, je reçois des visites qui m'en disent plus sur les centres d'intérêt des connectés. Les cacophonies des "amis" du maire battent des records. Parmi les noms les plus "tapés" : Genzana, Salord, Joissains. Ça tombe bien, c'est sur eux aussi que je "tape" le plus.

En vérité, je comprends assez que l'on atterrisse ici. Ce n'est certainement pas sur leurs blogs ou sites que les curieux trouveraient matière à satisfaire leur soif d'information.

Anastasie a de grands ciseaux

En regardant quotidiennement d'autres blogs, j'ai observé que la censure y sévit parfois à plein régime. Dès qu'un commentaire dit une vérité qui ne plaît pas au titulaire d'un blog, Anastasie sort ses grands ciseaux et coupe les ailes de l'effronté(e) qui n'y est pas allé(e) par quatre chemins.

Je ne nommerai personne mais je trouve plutôt regrettable ce refus de la contradiction, surtout lorsqu'elle est argumentée. A quoi peut donc bien servir un blog s'il n'est que la présentation unilatérale d'un point de vue ou, pire, juste un espace à la gloire de celui ou de celle qui le tient ?

4 décembre 2007

Au-delà des frontières

russie

(Clic sur les images pour agrandir)

sarko_a_alger

sarko_en_algerie

3 décembre 2007

Municipales : Ce que j'ai envie de dire

La voie est libre

J'aurais commis un lapsus ! Cela fait deux fois que La Provence fait allusion à un article que j'ai intitulé "La voie est libre" par clin d'œil au nom de l'émission de France 3 "La voix est libre". Si mon blog ne comportait aucun jeu de mots dans mes titres, je comprendrais que l'on cherchât à explorer mon inconscient.

Mais, étant linguiste par ailleurs, j'ai l'habitude de choisir mes termes et je m'efforce de redonner un attrait à toute prose en y glissant quelques malices susceptibles d'égayer les sens des lecteurs.

J'insiste donc. J'ai bien écrit "La voie est libre" dans le but évident de signifier que, vu la confusion qui règne dans la campagne électorale, il doit bien y avoir un chemin qui se distingue des autres. J'ai la faiblesse de penser que j'emprunte cette route plus claire et que les Axiois sauront éviter les embouteillages.

Le tourbillon et le point fixe

Précisément, depuis quelques semaines, on en voit de toutes les couleurs. On ne sait plus qui est qui, qui va avec qui, qui s'affiche avec qui, qui représente quoi, qui fait ami-ami avec qui, qui fait ennemi-ennemi contre qui, qui veut tuer qui, qui va faire son marché dans le panier des autres, qui va décrocher des postes…

Depuis quelques jours, ce jeu-là, qui consiste à changer de trottoir pour tenter de dénicher la meilleure place (me fais-je bien comprendre ?), vire au tourbillon. Et cela va s'accélérer dans les temps à venir. Mon petit doigt me dit que des revirements vont encore avoir lieu, que les coups tordus et les trahisons – que certains présenteront comme des actes sincères – n'ont pas atteint leur plénitude... de nausée.

Morale, s'il en fallait vraiment une : il ne faut pas monter sur le tourniquet, il faut essayer de le regarder tournoyer à partir d'un point fixe.

Les roitelets et le sceptre 

Je lis, ici et là, que la "raison" politique commanderait désormais de faire des choix incompatibles avec ses convictions antérieures – je n'ose pas dire de toujours.

J'ai la mémoire trop vive pour ne pas me souvenir de ces belles déclarations définitives proférées par quelques roitelets affirmant que leur engagement ne souffrirait jamais du moindre écart.

J'ai encore dans mes oreilles les mots durs que certains ont prononcés contre d'autres.

J'entends encore résonner des phrases jurées sur l'inflexible et indéfectible sens du combat fondé sur ses propres idées.

J'ai encore le tympan tintant des certitudes de ceux qui, pour rien au monde, n'abandonneraient les principes qu'ils disent les guider. Et qui, au premier petit sceptre espéré de pouvoir, agité devant eux, s'accommodent d'acquiescer, avec la même sincérité spontanée et touchante bien sûr, à leur parfait contraire.

Ce sont peut-être là les vertus de la révélation, à moins que ce ne soit le vice de l'opportunisme.

Si je m'en tiens aux réactions des électeurs que je rencontre, la supercherie n'a pas l'air de prendre. Dit autrement : il pourrait bien y avoir, le moment venu, des renvois de sceptre en pleine figure.

3 décembre 2007

Explications pour "Cherchez les bizarreries"

Vendredi, j'ai publié deux photos sur les caméras de vidéosurveillance en cours d'installation au centre ville. En apparence, les boules sont discrètes et on ne les remarquerait pas si l'on ne levait pas les yeux.

Mais, sur le premier cliché, on peut observer que la caméra a été fixée sur la paroi d'un immeuble classé – en l'occurrence celui de la Halle aux grains – et cela est interdit par la loi.

Sur le second, il semble bien que la hauteur de la caméra offre un angle de vision pouvant filmer l'intérieur des logements situés en terrasse.

Reste maintenant à vérifier les 34 autres emplacements. Ben, quoi, souriez au moins !

3 décembre 2007

Le bonheur, c'est pour tout à l'heure

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(Clic sur les images pour agrandir)

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