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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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23 octobre 2007

Ambiance de chapiteau au conseil municipal

En direct de l'Hôtel de Ville comme si vous y étiez !

Hotel_Ville_bleuMaryse Joissains était absente. Le conseil municipal a été présidé par le premier adjoint. Ce n'était pas moins cocasse et désordonné que d'habitude.

Dans ces occasions, Jean Chorro devient une autre personne, la charge paraissant trop lourde pour lui. Il s'énerve, hurle parfois, veut vite clore les débats car il n'a pas réponse à tout. Il méconnait aussi le déroulement d'un conseil et les obligations à respecter. Il s'emmêle les pinceaux et ne sait plus où donner de la tête.

Bref, on l'aura compris, la séance de lundi soir ressemblait à s'y méprendre à un ambiance de chapiteau avec attractions et derniers tours de piste.

Les 140 dossiers de l'ordre du jour ont été traités en près de 4 heures. Les échanges que nous avons provoqués ont surtout porté sur les 50 premiers rapports, le reste étant des affaires d'ordre.

Au sujet des antennes relais, ma collègue Danielle Rumani-Elbez (PRG) a posé sa question (voir mon message du 20 octobre, ci-dessous) et a dénoncé le simulacre de la commission de travail. L'adjoint à l'environnement, obligé de dire qu'il s'est réuni presque seul lors de la dernière convocation, s'est, de surcroît, ridiculisé par des réponses fantaisistes.

L'adjoint aux finances a tenté de présenter le débat sur les orientations budgétaires en forme de vision idyllique du bilan de Maryse Joissains. En gros, "nous avons été meilleurs que vous, nous avons tout réussi et les Aixois sont heureux". S'ils le croient vraiment, alors, le mal semble plus grave que tout ce que l'on pouvait diagnostiquer.

Pendant près d'un quart d'heure, j'ai personnellement rappelé certaines vérités d'un état des lieux démontrant l'exact contraire. J'y reviendrai cette semaine.

Bien d'autres questions de notre part ont irrité plusieurs élus, trois d'entre eux perdant un peu leurs nerfs dès que leurs bilans étaient attaqués. Après six ans passés à la tête de la ville, ils s'attendaient peut-être à ce qu'on leur fasse des cadeaux…

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19 janvier 2008

"Aix à venir" : deux nouveaux rendez-vous

Cette semaine, notre équipe va mettre les bouchées doubles. "Aix à venir" propose deux nouveaux rendez-vous ouverts à tous. Des dates à ne pas manquer.

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Lundi 21 janvier 2008 à 19h00

       

Inauguration de la permanence de campagne

            

2, place Ganay (en haut du cours Mirabeau / rue Thiers)

Téléphone : 06.33.02.36.60

          

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Vendredi 25 janvier 2008 à 19h00

         

Réunion publique

         

"Le projet pour Aix-en-Provence"

          

salle du Bois de l'Aune au Jas de Bouffan

                

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(Clic sur chaque image pour agrandir)

Picheral_Pezet_1Picheral_Pezet_2

19 janvier 2008

Echos de la campagne d'en face (1)

Comme tout le monde n'a pas ma chance, j'ai décidé de gâter mes lecteurs avec une première rafale de brèves bien réjouissantes, entendues au gré de mes déplacements. Ne m'en remerciez pas, c'est cadeau !

       

cotillons

Ÿ Jean Chorro ne sera plus n° 2 sur la liste de Maryse Joissains. Ah, bon ? Oui, il s'est fait piquer la place par quelqu'un d'autre. Mais, que ses amis se rassurent, il figurera bien parmi les premiers. Par ailleurs, il a été chargé d'une double tâche, ingrate à souhait : annoncer à d'anciens colistiers qu'ils doivent dégager et à d'autres qu'ils sont rétrogradés... loin dans la liste. Bonjour l'ambiance !

Ÿ Trois piliers de l'ancienne majorité, tous adjoints, Jean-Gilbert Zozor, Henri Doglione et Gérard Consani, dont on nous avait tant vanté les mérites, ont été priés de rentrer chez eux. Pour les deux premiers, l'affaire de la Semepa aura eu raison d'eux. Quant au troisième, il paie, avec un certain retard, son passage en correctionnelle pendant le mandat.

Ÿ Au conseil municipal de décembre, comme je l'ai déjà narré, Henri Doglione était absent. Enfin, disons, pas tout à fait. Il avait donné son pouvoir à… à... à... Jean-Gilbert Zozor. Il a donc lui aussi voté, au mépris du code des collectivités territoriales, le dossier litigieux concernant l'affaire de la Semepa dont ils sont administrateurs. Connaissant ma discrétion, certains élus non rejetés de l'équipe sortante, qui veulent évidemment du bien à leurs ex-collègues, ne se privent pas de me le signaler. Décidément, sous le Beffroi, la solidarité n'est vraiment plus ce qu'elle était.

Ÿ Les Aixois n'auront pas le plaisir de revoir certains de leurs chers adjoints de quartier. Il est déjà connu que ceux de Luynes, de Pont de Béraud, des quartiers Nord, d'Encagnane-Corsy et du centre-ville ne seront plus sur la liste. Celui du Val Saint-André pourrait voir ses délégations réduites à une seule. Le sort des autres est en voie de règlement. Pourtant, on nous avait dit qu'ils avaient tous été bons ! Mais qu'ont-ils bien pu faire pour être évincés comme des malpropres ?

Ÿ Sur le blog d'un adjoint dissident UMP, j'ai lu que, lors des vœux-adieux de l'en colère adjoint spécial, en l'absence remarquée de Maryse Joissains, la salle Ughetti à Luynes était "pleine à craquer". J'étais présent et je n'y ai vu qu'une salle au deux–tiers vide. Cette flagornerie de collègue à collègue s'explique facilement. Il faut dire que l'élu du village va rejoindre la liste où se trouvent déjà ses deux autres collègues en rupture de majorité.

Ÿ Jean-Pierre Bouvet, qui ne sera pas sur la liste UMP, semble catastrophé de ce qui se passe dans les coulisses de la campagne et dans l'entourage du maire. Le député Christian Kert n'en pense pas moins non plus. Au train où vont les choses, bientôt, c'est Maryse Joissains, elle-même, qui risque d'entonner le même air.

25 octobre 2007

Plan de Campagne : De nouveaux recours

plan_de_campagne

150.000€ d’astreinte par salarié et par infraction constatée : c’est l’amende que demandent les syndicats CFDT et CGT contre les enseignes de Plan-de-Campagne qui sont illégalement ouvertes le dimanche.

Le recours en référé des deux syndicats, déposé devant le tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence, devait être examiné mercredi, à moins que l’audience ne soit renvoyée après les vacances scolaires.

Il fait suite aux recours déposés le 14 septembre devant le tribunal administratif par les deux syndicats afin de contester la validité des 135 arrêtés pris en juillet dernier par le préfet Michel Sappin et autorisant l’ouverture dominicale d’autant d’enseignes pendant 11 mois.

Les recours déposés devant le tribunal administratif suspendent les arrêtés préfectoraux. En clair, les enseignes concernées par l’arrêté préfectoral devraient rester fermées le dimanche, jusqu’au jugement du tribunal administratif.

Or, pour la CGT Commerces et services, une majorité des responsables des enseignes concernées “violent la loi et le disent publiquement.”

Le délai du préfet était une manœuvre qui devait permettre, selon lui, de trouver un accord, en attendant la rédaction d’un projet de loi sur le travail dominical annoncé pour la fin de l’année, puis sa discussion au Parlement début 2008.

30 janvier 2008

Ma vie d'élu municipal (4)

Mirabeau

(Clic sur l'image pour agrandir)

Mirabeau, salle des Etats de Provence

Avec ce nouveau volet, je poursuis le compte-rendu de mon mandat d'élu municipal. C'est l'occasion pour moi de retracer un peu d'histoire, de faire connaître les fonctionnements d'une mairie, de livrer des informations sur le temps passé pour l'exercice du mandat et d'en dire plus sur ce que le public ignore souvent.

Mon implication dans la vie publique et politique ne date pas d'hier. J'ai donc la chance d'avoir été confronté aux réalités. Puissent le lecteur et l'électeur se faire une idée plus précise de la vie d'un élu et mieux comprendre le sens d'un engagement au service du bien commun.

Une bataille de 2500 jours

Lors de chaque séance du conseil municipal, en général, les élus doivent se prononcer sur de très nombreux dossiers. Pour faire simple, disons qu'il y en  a de deux sortes. Les délibérations d'ordre, qui n'ont souvent qu'une portée administrative et qui sont votés à l'unanimité. Et les rapports plus politiques, voire très politiques. Ce sont ceux-là qui donnent lieu à des discussions où chacun défend sa façon de voir.

C'est là que le débat contradictoire se justifie le plus car il met en lumière la voie politique qu'emprunte une majorité et qui est à l'opposé de ce qu'aurait fait l'opposition.

Pour ma part, je n'ai jamais hésité à intervenir sur une large gamme car j'ai toujours pensé qu'il ne fallait jamais rien laisser passer. Comme je l'ai déjà dit, cela demande une étude anticipée des dossiers, des recherches d'informations et une mise en forme des arguments. C'est ainsi que j'ai pu mettre au jour des dizaines de décisions discutables et des dérives de toutes sortes.

Chaque année, les quatre actes politiques fondamentaux qui requièrent la plus grande attention sont, dans l'ordre légal, le débat sur les orientations budgétaires (DOB), les votes du budget primitif (BP), du compte administratif (CA) et du budget supplémentaire (BS).

J'ai sans doute déjà évoqué cet aspect des choses, mais cela représente de pleins volumes de documents à ingurgiter. Cela nécessite d'y consacrer des heures sans fin. Pas une seule fois, je n'ai été absent de la discussion, montant au créneau et à la charge de façon permanente.

Les pages noires

Les sept années qu'aura duré ce mandat prolongé n'auront pas été de tout repos. J'ai multiplié les mises en garde sans être toujours ou complètement entendu. J'ai participé à la défense des employés municipaux pour faire respecter leurs droits à la formation.

Chaque fois que nécessaire, j'ai stigmatisé les baisses ou retraits arbitraires de subventions aux associations, notamment aux plus fragiles. Je n'oublie pas les nombreuses batailles contre certains projets de construction décidés au coup par coup alors même que le Plan local d'urbanisme (PLU) prévu par la loi n'a jamais été mis en œuvre.

Je n'ai eu cesse de dénoncer le scandale du Centre européen de création et de développement culturel (CECDC) du Jas de Bouffan et la casse du Carnaval d'Aix.

En parallèle au travail accompli au conseil municipal, à plusieurs reprises, j'ai été amené à m'adresser au sous-prefet d'Aix pour l'informer d'anomalies ou lui demander d'exercer son contrôle de légalité des délibérations municipales.

Je me suis même trouvé dans l'obligation ultime de solliciter les services du premier ministre pour obtenir des documents que le maire me refusait.

Il a fallu que je saisisse officiellement le Tribunal administratif de Marseille pour faire invalider le fumeux nouveau régime indemnitaire des personnels municipaux (décision rendue) et pour contester le salaire excessif du directeur de cabinet du maire (affaire non encore jugée à ce jour).

Avec trois autres collègues, j'ai aussi porté plainte auprès du procureur de la République pour usage litigieux de publicités dans un document de propagande de la députée (instruction en cours).

Ce ne sont là que quelques exemples saillants du travail d'élu d'opposition. Un livre ne suffirait pas à retracer les pages noires écrites par cette municipalité. C'est pourquoi, j'ai souvent eu à élever la voix.

                                                                                                   (A suivre…)

Pour plus de détails sur les sujets abordés,

lire les rubriques classées de chaque côté de l'écran.

Voir les trois volets précédents (24 novembre, 12 et 29 décembre)

à la rubrique "MA VIE D'ELU MUNICIPAL", en haut à droite de l'écran.

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31 janvier 2008

"Aix à venir" : La liste annoncée vendredi

Copie_de_Aix___venir_n__1_UNE

Après avoir présenté nos propositions par thème au cours de trois grandes réunions publiques décentralisées et les grandes lignes de notre projet au Jas de Bouffan, après voir inauguré notre permanence électorale, nous nous apprêtons à diffuser largement notre plaquette programme.

Nous allons également continuer à parcourir, au même rythme soutenu, les rues et les immeubles de nos quartiers et de nos villages. Toute l'équipe est sur le pont pour rencontrer les habitants et les convaincre du sérieux de notre démarche.

Les Aixois pourront en avoir une preuve supplémentaire ce vendredi, jour où la liste Michel PEZET / Jean-François PICHERAL sera officiellement annoncée. Avec calme et… sans paillettes.

31 janvier 2008

Municipales d'Aix : Qui pour faire quoi ?

vote

                     

Jour après jour, la campagne électorale se met en place. Les Aixois ont déjà découvert la composition de certaines listes. Des programmes commencent à circuler. Des réunions publiques sont organisées par les diverses équipes. C'est le processus normal qui précède ce type d'échéance électorale.

Les électeurs les plus férus de politique veulent d'abord connaître les propositions des candidats. Ce devrait être la démarche de base pour tous ceux qui votent. Mais, on s'aperçoit que beaucoup de gens passent plus de temps à commenter la composition des listes.

L'élection municipale étant un scrutin dit de "proximité", il n'est pas anormal que l'on cherche les noms connus, ceux des personnalités représentatives ou ceux des personnes que l'on côtoie de près. Bien sûr, chacun regarde tout cela avec ses yeux partisans, sa propre histoire politique, ses amitiés, ses inimitiés, ses envies de soutien ou de revanche.

La donne actuelle qui voit les cartes politiques traditionnelles bousculées par des scissions, des dissidences et des regroupements inédits, sinon détonants, n'est pas forcément claire pour tout le monde. Cela alimente des polémiques qui font le piquant de l'élection.

Pourtant, une logique est en train de s'imposer. La plupart des équipes qui se mettent en place ne sont plus monolithiques. Et c'est autour de leaders à forte personnalité que se construisent les listes, même si les origines politiques de certains colistiers sont disparates ou contradictoires.

En apparence, un tel affichage peut sembler séduisant. Mais, qu'en sera-t-il du devenir de certaines des équipes ainsi formées, annoncées forcément comme étant unies et d'accord sur un même projet ? Seront-elles encore toutes viables au-delà d'une éventuelle élection ? Rien n'est moins sûr. Les exemples pullulent d'arrangements de circonstance ne tenant pas plus d'un an à l'épreuve des faits ou de la gestion.

Les électeurs feraient bien, cette fois, de ne plus donner carte blanche à des ambitions anciennes ou nouvelles du même acabit ayant généré des comportements condamnables et provoqué les pires dérives pour l'image de notre ville.

Elire un maire pour un mandat de six ans mérite un choix réfléchi, serein et préventif. L'avenir d'Aix ne peut plus se jouer sur un coup de dés.

13 octobre 2007

"L'ombre du supporter", un jeu pour vous dire merci

Grâce à vous, le nombre de visites de mon blog a encore bien grimpé. Pour remercier tous ceux qui ont contribué à diffuser mon adresse autour d'eux… et pour tous les autres qui reviennent fidèlement chaque jour, voici un petit jeu de perspicacité (signé Chatelain).

Les paris sont ouverts. La réponse sera donnée lundi.

En attendant, il n'est pas interdit de continuer à inviter votre entourage à venir faire un petit tour sur cet écran. Ne pas oublier de suggérer de placer l'adresse dans les "favoris".

jeu_supporter_rugby

                           

Vous êtes actuellement au moins 999,50 à faire semblant de bosser…

france_rugby_ovalomania

(Clic sur l'image pour agrandir)

7 février 2008

Vendredi, Michel Pezet à la radio et à la télé

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VENDREDI 8 FEVRIER   :   DEUX RENDEZ-VOUS

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logo_france_bleu_provenceDe 7h20 à 8h40

Petit déjeuner avec Michel Pezet

sur France Bleu Provence (103.6)

      

logo_franceDe 18h40 à 19h20

Michel Pezet invité du 19/20

sur France 3 Méditerranée

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LES AUTRES MOMENTS FORTS

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Voir le reportage de 2mn sur France 3 Méditerranée

de l'annonce de la liste "Aix à venir" le 1er février

déplacer le bouton d'avancement directement à 13mn35

http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b13a_1920&video_number=5

Ecouter le discours de 15mn de Michel Pezet

lors de la présentation de la liste "Aix à venir"

http://www.michelpezet.org/index.php?2008/02/02/115-declaration-de-michel-pezet-lors-de-la-presentation-de-la-liste-aix-a-venir-le-1er-fevrier-2008

Voir le reportage de 5mn devant La Permanence

et le reportage de 1mn25 de la rencontre publique au Jas de Bouffan

sur Télévision Provence Web

http://www.michelpezet.org/index.php?2008/02/06/117-reportage-web-tv-aix-a-venir-et-michel-pezet

Consulter le blog de campagne

http://www.michelpezet.org

11 février 2008

Canton Aix-Centre : Notre campagne "décolle"...

Encagnane_Danielle_et_Lucien_Alexandre

(Clic sur l'image pour agrandir)

Danielle Rumani-Elbez, Lucien-Alexandre Castronovo

vendredi soir à Encagnane

Danielle Rumani-Elbez et moi-même avons décidé d'être sur le terrain, rien que sur le terrain, pour aller à la rencontre des habitants. Contrairement à nos concurrents qui n'existent et ne se montrent que par répétition de photos sur les murs, nous avons choisi de ne pas gaspiller nos fonds dans une bataille d'affichage stérile.

La population se dit franchement dégoûtée par la débauche d'affiches collées, aussitôt recouvertes par d'autres. En ce qui nous concerne, nous attendrons patiemment l'ouverture officielle de la campagne électorale pour utiliser les panneaux réglementaires mis à notre disposition.

Vendredi et samedi, nous avons allègrement parcouru les marchés, les rues et les immeubles. Puis, nous avons réuni des amis à divers endroits du canton et notamment à Encagnane. Rien de mieux que le contact direct.

Un grand merci à tous les amis qui nous accompagnent et à toutes les personnes qui se mobilisent spontanément à nos côtés.

13 février 2008

"Aix à venir" : Voici le projet intégral

projet_integral_pezetLe projet intégral de notre liste "Aix à venir" est désormais disponible. Il s'intitule "De l'audace pour réunir les Aixois".

N'hésitez pas à en prendre connaissance par vous-même. Le grand avantage de l'information directe, c'est de pouvoir comparer et choisir.

Clic sur : http://www.michelpezet.org 

ou sur : AIX_A_VENIR_LE_PROJET

Pour les fervents de revues de presse bien faites,

clic sur http://aix2008.over-blog.com

8 janvier 2008

Affaires immobilières de la Semepa : du nouveau…

MJM_immobilier

(Clic sur l'image pour agrandir)

Dessin de Tone /CDM pour "Le Ravi"

Donc, le footballeur Marcel Desailly et l'adjoint aux sports Jean-Gilbert Zozor ont renoncé à leurs achats immobiliers. C'est ce qu'annonce La Provence dans son édition de lundi. L'affaire n'en est pas terminée pour autant.

D'abord, les deux acquéreurs reconnaissent leur implication dans ce drôle de marché. Le footballeur a quand même menti lorsqu'il a déclaré qu'il a été contacté par "une" société comme si c'était là une démarche objective. En réalité, c'est bien la Semepa qui lui a proposé l'acquisition litigieuse, tout le monde s'en doutait.

Henri Doglione, adjoint à l'urbanisme et Pdg de la Semepa, le confirme de fait : "Les collaborateurs de la Semepa ont été priés de rechercher des acquéreurs". Comme par hasard, ils ont trouvé Zozor, adjoint aux sports et membre du conseil d'aministration de la Semepa, et  Desailly, copain de longue date. Quelle coïncidence !

Sans compter qu'on a vu Zozor prendre part au vote de la délibération. Sa participation peut être mise en cause si l'on s'en rèfère à l'article L.2131-11 du Code Général des Collectivités Territoriales ainsi rédigé : "Sont illégales les délibérations auxquelles ont pris part un ou plusieurs membres du conseil intéressés à l'affaire qui en fait l'objet, soit en leur nom personnel, soit comme mandataires."

Ensuite, Maryse Joissains joue les effarouchées en voulant se faire passer pour madame-je-lave-propre en demandant une expertise. Elle aurait dû y procéder avant. Elle ne peut esquiver maintenant sa responsabilité de maire qui a fait passer cette délibération au conseil municipal.

Enfin, la renonciation des deux acquéreurs n'annule pas la décision votée par la majorité. Il faut donc convoquer le conseil avant le 17 février (délai de deux mois) pour faire légalement marche arrière. Maryse Joissains aura-t-elle le courage et l'honnêteté d'aller jusqu'au bout ? Patience…

Lire les premiers épisodes vendredi 21, samedi 22 et jeudi 27 décembre, ci-dessous.

3 novembre 2007

Echéances électorales 2008 : Le sens de mon choix

cocarde

Plutôt que de laisser leurs doux messages dans les commentaires, certains lecteurs m'envoient des mails. Bien entendu, cela ne me fâche pas du tout. Mais que me disent-ils ? Ils me demandent quand je parlerai de constitution de liste, de programme de campagne, de stratégie, d'alliances, etc.

Ces choses-là ne se décident pas par simple déclaration et, encore moins, seul. A titre personnel, je n'ai jamais cherché à assouvir une quelconque prétention individuelle, à obtenir je ne sais quel sceptre de pouvoir ou à viser une gloire forcément vaniteuse et éphémère susceptible de satisfaire un ego insane et/ou hypertrophié. Bien au contraire, j'ai toujours privilégié la participation à des équipes.

Si j'ai ouvert ce blog, c'est précisément pour pouvoir expliquer comment j'exerce mon mandat d'élu, avec les mêmes ressorts que ceux qui m'avaient permis d'être un des éléments de la liste de Jean-François Picheral. J'en ai gardé l'esprit et je crois pouvoir dire que j'y consacre tout le temps qu'il faut pour accomplir au mieux mon rôle dans l'opposition.

Arrivera bientôt le terme du mandat et, avec lui, le moment de refaire des choix. Je me suis donc interrogé sur la poursuite ou non de mon implication active dans les échéances futures. Mon goût pour la chose publique n'a pas commencé avec ma première élection. J'ai beaucoup œuvré dans d'autres domaines, notamment dans la vie associative locale. Je pourrais y retourner sans problème. Mais, pour décider et agir dans le sens du bien commun, la politique possède une dimension et des leviers à nuls autres pareils.

C'est pourquoi je ne ressens aucune lassitude à l'égard de la vie publique. Par l'expérience accumulée au fil des ans, j'ai aussi le sentiment de pouvoir encore lui être utile en y apportant ma contribution.

Mon analyse de la situation politique aixoise et des enjeux vitaux pour notre ville me conduit à la résolution d'être partie prenante au sein d'une équipe porteuse d'un projet visionnaire, ambitieux, réaliste et honnête, conforme à mes plus vives convictions. L'heure venue, lorsque le processus aura progressé, j'indiquerai ma prise de position définitive même si mes écrits et mes actes ont déjà esquissé la tendance de mes préférences.

Avant cela, sur ce même écran, dans les semaines à venir, je rendrai compte de mes activités d'élu, tant pour la part visible que pour celle assez souvent ignorée par les électeurs. Puis, et enfin, je dirai quels sont mes engagements, mes propositions et mes choix… sachant que le fin mot, lui, appartiendra aux urnes.

15 janvier 2008

Canton Aix-Centre : Notre conférence de presse (2)

conference_de_presse_cantonale_aix_centre

(Clic sur l'image pour agrandir)

Michel Pezet, Danielle Rumani-Elbez,

Lucien-Alexandre Castronovo et Jean-François Picheral

Ci-dessous, les deux derniers principaux extraits de notre conférence de presse du 12 janvier, à Encagnane, pour annoncer notre candidature à la cantonale d'Aix-Centre des 9 et 16 mars 2008.

Intervention de Michel Pezet

Lorsque Marc Egloff avait été désigné à l'élection cantonale, c'était en 1988, j'étais responsable du parti socialiste au niveau départemental. A l'époque, c'est après une concertation avec Jean-François Picheral que nous avions décidé qu'il devait être le candidat dans le cadre de l'ouverture des socialistes vers d'autres formations politiques. Si la politique est faite d'idées, elle est aussi faite de personnes.

En 2002, Danielle Rumani-Elbez a fait un très beau score aux élections législatives dans une situation particulièrement difficile. Et donc, pour faire de la politique, il faut avoir le cuir épais. Aujourd'hui, ce canton a été désigné pour un candidat socialiste. Peut-on désigner un candidat sans la moindre discussion ? Je crois que non.

Tous les partis doivent se poser des questions sur leur état. Dans quel état est le parti socialiste ? Dans quel état est le parti communiste ? Comme est le parti radical de gauche ? Comment est la gauche généralement ?

Nous avons en face de nous une machine extravagante, la machine de Sarkozy, qui mêle tout, qui essaie de démontrer qu'il peut être à gauche mais qui cale complètement par exemple sur le pouvoir d'achat et sur les différentes réformes qu'il veut faire. C'est une machine qui fait changer les repères de la gauche et de la droite. Il joue son jeu et il sait ce que c'est que la politique.

Et nous, qu'est-ce qu'on fait ? On va continuer à croire qu'on peut, comme ça, jouer chacun dans son bastion, réfléchir et avoir quelques idées ? Ou bien on va tout mettre à plat ? C'est ça la grande confrontation dans laquelle on est. Est-ce qu'on peut continuer à faire semblant ? Va-t-on continuer à chanter les grandes lunes ? Ou bien est-ce que la gauche doit se réunir et réfléchir sur tout ça ? Et on va s'étonner ? On va nous faire des coups de discipline à laquelle personne ne croit ?

Qu'il soit très clair, jamais, pas plus Jean-François Picheral que moi-même, ou que les camarades socialistes qui sont avec nous, nous n'avons été convoqués devant la moindre commission. Et il est clairement établi qu'il n'y a pas la moindre exclusion. Pourquoi y a-t-il de la confusion partout ? Pourquoi ? On manque de bases, de réflexion et d'humilité pour mettre tout le monde autour de la table.

Au lendemain de l'élection présidentielle, on n'a pas tiré les conséquences de notre chute. Il faut se demander ce qui se passe dans cette société, quels sont les problèmes auxquels les gens veulent que nous répondions et que nous ne répondions pas par de vieilles lunes. Nous sommes dans cette vision de la chose, y compris localement et dans ce canton.

Pourquoi donc tant de candidatures ? Parce qu'on ne réfléchit pas ! Parce qu'on croit que coller des affiches et y mettre sa tête, ça suffit ! Quel est le contenu derrière une tête et des affiches ? C'est quoi aujourd'hui le Conseil général ? Et c'est quoi cette élection ? C'est quand même extraordinaire cette espèce d'autosatisfaction que certains manifestent : "ça me revient", disent-ils. Qu'est–ce qui vous revient ? Si je suis candidat à une élection, c'est pour porter quelque chose. Si nous faisons une liste, c'est parce que nous avons envie que les choses se transforment. Ce n'est pas le pouvoir qui nous anime.

Si cette élection peut déclancher des phénomènes de discussion, alors c'est ce qui nous intéresse. Et c'est ce qui motive notre rencontre avec les citoyens. Eclairons mille lumières et on verra l'unité qu'on pourra refaire après. 

Intervention de Jean-François Picheral

Avant le découpage électoral que nous connaissons aujourd'hui, ce canton était le mien. Jusqu'en 1988, il n'y avait que deux cantons, détenus par Félix Ciccolini au Nord et moi-même au Sud-Ouest et centre. Maintenant, il y en a trois.

Ces quartiers se sont développés grâce à nous deux. Dans les années soixante, pour accueillir les rapatriés à Encagnane et, plus proche de nous, pour loger les nouveaux arrivants aixois.

En 1988, Marc Egloff a été le premier conseiller général du canton centre. Lorsque je suis devenu maire, il m'avait demandé de confier le quartier à Danielle. C'était un quartier difficile car il n'avait pas encore trouvé son équilibre. Le courage et le savoir-faire de Danielle ont fait que ce mandat s'est remarquablement bien passé. Elle est sortie harassée de fatigue de ces six ans d'investissement.

Pour le second mandat, elle a souhaité changer de délégation. Je lui en ai donné une autre encore plus lourde : l'éducation. C'est très difficile à gérer et elle a fait ça de façon tout aussi remarquable. Danielle arrivait à faire des réunions en menant des débats avec les parents d'élèves, avec les directeurs d'école, avec les enseignants. Cela était dû à la sérénité, au sérieux et au bon sens de Danielle. Dans ce quartier, elle est chez elle.

Est-ce qu'on lui a demandé au niveau marseillais si ça l'intéressait d'être candidate éventuellement dans ce canton ? Réponse : non ! Ils ont désigné quelqu'un d'autre. Cà, c'est inadmissible de gaspiller une telle chance.

Alors, si Sarkozy remue le panier, et que nous nous lamentons tellement sur l'état de nos partis de gauche, ne croyez pas qu'aujourd'hui l'ambiance soit euphorique à l'UMP. Si certains ont vite pris le tournant avec Sarkozy, d'autres ont une idéologie et une façon de travailler qui les troublent beaucoup. Il y a un malaise chez eux qui est moins important que chez nous car, chez nous, il est idéologique. Il nous faut un chef. Et on le voit bien avec le débat sur l'Europe et sur les positionnements contradictoires des socialistes. Nous en subissons les conséquences aux échelons de la région, du département et très localement.

Il faut faire comprendre à nos responsables départementaux qu'il y a des gens qui ont un savoir, qui ont fait leurs preuves et nos deux candidats sont des élus remarquables. Par les résultats qu'ils ont obtenus et qu'ils obtiennent aujourd'hui. Il faudra le savoir aux Aixois et je suis très fier que Michel ait fait ce choix de leur demander d'être avec lui pour ce futur combat municipal car ce sont deux Aixois qui savent de quoi ils parlent quand ils interviennent dans le fonctionnement et la vie de cette ville qui mérite de revenir, grâce à eux, dans une gestion saine, honnête, avec de la sérénité.

Quand on voit l'ambiance qu'il y a aujourd'hui dans l'équipe dirigeante sortante, ils s'entretuent, ils se séparent, comment voulez-vous que l'on travaille ? Ces gens ont géré cette ville d'une façon catastrophique et nous allons avoir des difficultés pour la redresser. En 1989, nous avions basé notre campagne municipale sur l'idée "que la ville se lève". Là, il va falloir dire "que la ville se relève !"

Quand on voit les dernières interventions de Joissains sur les HLM, c'est un tissu de mensonges sur quatre pages et cela risque d'être comme ça pendant toute la campagne. Il nous faudra, avec des gens honnêtes et compétents, faire triompher la vérité. Danielle et son suppléant, en dehors du côté affectif que j'ai à leur égard, ont toute leur place au Conseil général et à la mairie.

Lire la première partie ci-dessous à la date de lundi 14 janvier.

29 octobre 2007

En direct avec les habitants de la Pinette

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(Clic sur les images pour agrandir)

Françoise Brassart (à gauche), Danielle Rumani-Elbez,

Lucien-Alexandre Castronovo et Michel Pezet

en discussion avec les habitants

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24 antennes relais sur un même toit !

Il est des visites de terrain qu'on ne regrette pas d'accomplir plusieurs fois. Ainsi, samedi, nous sommes retournés sur le terrain à La Pinette pour y passer toute la matinée. Lors des deux précédentes, il y a un an, nous avions établi des constats sur les conditions de vie des habitants du quartier.

Suite aux interventions de Michel Pezet, des avancées ont pu être opérées. Des travaux de double vitrage, de réfection, de mise en sécurité et d'entretien ont été menés par l'OPAC Sud. Guidés par l'amicale des locataires, nous avons enregistré d'autres demandes : le problème des charges trop élevées, l'état de propreté à améliorer et le danger ressenti au sujet des antennes relais (24 sur un même toit !).

Nous avons fait le tour de tous les immeubles et grimpé plusieurs cages d'escaliers. Nos multiples discussions avec les résidants ont confirmé la nécessité de traiter le quartier dans son ensemble : cadre de vie, espaces verts à l'abandon et à aménager et activités à relancer pour les différentes classes d'âge de la population.

Cette nouvelle visite sur place a renforcé notre conviction que, mettre la vie des quartiers au cœur de la campagne des municipales, était notre priorité absolue.

2 février 2008

"Aix à venir" : La liste de Michel Pezet

Election municipale des 9 et 16 mars 2008

La liste "Aix à venir"

Rassemblement et Ouverture

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(Clic sur la photo pour agrandir)

1. Michel PEZET

Avocat à la Cour

Vice-président du Conseil général

         

2. Anne-Christel FOGLIANI

Professeur de sports au CREPS d'Aix

Chargée de la formation des sportifs de haut niveau

3. Jean-François PICHERAL

Sénateur des Bouches-du-Rhône

Maire d'Aix (1989 – 2001)

Chevalier de le Légion d'Honneur

4. Danielle RUMANI-ELBEZ

Chirurgien-dentiste

Conseillère municipale

Conseillère communautaire

5. Antony SETTE

Auditeur financier

Diplômé de l'Insitut d'études politiques d'Aix

6. Samia SETTOUTI

Juriste

7. Jean-Loup CAMPESTRE

Avocat honoraire

Premier adjoint (1989 – 1994)

8. Patricia PELLISSIE

Agent d'art

Créatrice du Festival de la chanson française

9. Lucien-Alexandre CASTRONOVO

Professeur

Conseiller municipal

10. Noëlle CICCOLINI-JOUFFRET

Attachée parlementaire (1980 – 1989)

Secrétaire juridique

11. Ahmed ZITOUNI

Ecrivain

Enseignant à l'Institut d'études politiques d'Aix

12. Roseline ARNAUD-KANTOR

Universitaire

Administratrice d'association d'insertion

13. Malik CHAFAI

Chef d'équipe

Syndicaliste

14. Françoise BRASSART

Conseillère régionale

Conseillère municipale

Chevalier de la Légion d'Honneur

15. Jacques JEAN

Membre de la commission paritaire de l'emploi et de la formation professionnelle

Chevalier de l'Ordre National du Mérite

16. Florence LAURE

Médecin nutritionniste aux Milles

17. Jean-Yves ROURE

Attaché de direction

Adjoint au maire

18. Larenka HOAREAU

Administrateur de société

Cantatrice

19. Jean-Louis KEITA

Avocat à la Cour

Président de la Conférence des bâtonniers du grand Sud-Est et de la Corse

20. Jacqueline OLLIVIER

Assistante parlementaire

21. Marcel MASSON

Expert en environnement

Chevalier de la Légion d'Honneur

22. Abassia BACHI

Syndicaliste

Présidente de l'Association des femmes méditerranéennes et citoyennes

23. Jean-Jacques POLITANO

Administrateur de société

Président de la Fédération du Bâtiment et des Travaux publics du Pays d'Aix

24. Isabel PETROVICS

Médecin généraliste

Membre de S.O.S. Médecins

25. Michel BRAUNSTEIN

Administrateur civil

Conseiller maître à la Cour des comptes

26. Christine FROMAIN

Conseillère d'éducation populaire et de jeunesse

Chargée de mission vie associative

27. Pierre SOLEILHAVOUP

Directeur territorial

Conseiller pédagogique

28. Béatrice COLONNA D'ISTRIA

Décoratrivce

Administrateur d'un centre d'enfants polyhandicapés

29. Marcel-Toussaint BELABAS

Agent commercial

30. Fabienne PONS

Consultante en tourisme

31. Jean-François HERON

Conseiller technique d'une collectivité territoriale

Directeur école de musique (1987 – 1990)

32. Marguerite SARKISSIAN

Secrétaire juridique

33. Jacques SERRAT

Appariteur Institut d'études politiques

34. Ginette MENSALES-FARINACCI

Assistante parlementaire

35. Raymond PAGE

Retraité de l'enseignement technique

36. Jeanne CHIOLA

Fonctionnaire de l'Education nationale

Présidente d'association

37. Jean-Pierre MARTINA

Administateur Pays d'Aix Habitat

Délégué association de consommateurs

38. Marème FAYE

Diplômée d'études approfondies de droit privé

39. Pierre BOURROUILHOU

Professeur d'éducation physique et sportive

40. Andrée SUIGUIER

Infirmière

Présidente du Centre d'information sur le droit des femmes (2000 – 2003)

41. Jean-Marc ASCENCIO

Ingénieur Université Paul Cézanne

42. Claudine CROZE

Magistrat honoraire

Chevalier du Mérite Agricole

43. Jacques POLETTI

Administrateur d'association pour des déplacements doux

44. Fanny BERNARD

Documentaliste-Iconographe

45. Rémi ODDOU

Etudiant en économie

46. Micheline BERA

Ancienne infirmière à Puyricard

47. Patrice DALMAZ

Directeur régional des ventes

48. Karine PARDIGON-DAMENO

Auxiliaire de puériculture

Secrétaire association de consommateurs

49. Paul LESPINAT

Ingénieur agronome

Adjoint au maire (1995 – 2001)

50. Monique BLANC

Déléguée départementale de l'Education nationale

Chevalier des Palmes Académiques

51. Laurent ESCANDE

Chargé de cours à l'Université de Provence

52. Monique FAILLARD

Artiste peintre

Présidente de l'Association culturelle franco-japonaise

53. Patrice POLI

Chef d'entreprise

Pompier professionnel à Aix (1982 – 1992)

54. Germaine PIVASSET

Professeur de lettres classiques

Adjointe au tourisme (1989 – 2001)

55. Bruno ETIENNE

Professeur agrégé de sciences politiques

Membre de l'Insitut universitaire de France

Chevalier de la Légion d'Honneur

3 mars 2008

ELECTION MUNICIPALE : FLASH SPECIAL SONDAGE

Dernière minute... Communiqué de presse

      

de Michel PEZET et Jean-François PICHERAL

   

Liste "Aix à Venir"

Nouvelle surprise à Aix-en-Provence… La liste "Aix à venir" de Michel PEZET et de Jean-François PICHERAL progresse à 14% des intentions de vote à une semaine du premier tour le 9 mars prochain.

Dans la perspective de l’élection municipale d’Aix-en-Provence, la liste "Aix à venir" a fait procéder à une étude de sondage réalisée par l’IFOP. Au terme de cette étude, réalisée les 26 et 27 février dernier, la liste "Aix à venir" recueille 14% d’intentions de vote.

Pour Michel PEZET : "Ce chiffre, recueilli la semaine dernière, confirme le fait que nous ressentons une forte dynamique autour de notre initiative".

Taux de progression fulgurant

      

"Notre liste était créditée de 8% d’intentions de vote il y a encore deux semaines par la Sofrès. L’étude de l’IFOP nous place à 14%. Cela indique donc une forte progression des intentions de vote en notre faveur. En une semaine, le gain est encourageant car nous sommes les seuls à progresser. J’y vois le signe que les Aixois, maintenant mobilisés pour cette élection, portent un intérêt nouveau à notre liste, loin des querelles et des coups bas auxquels se livrent nos adversaires, mais bien sûr aussi à notre projet, le plus ambitieux et le plus réaliste dans cette élection", déclare Michel PEZET.

               

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Le climat électoral à Aix-en-Provence

      

Résultats détaillés Février 2008

- 1 - METHODOLOGIE

Méthodologie

Ce document présente les résultats d’une étude réalisée par l’Ifop. L'étude respecte fidèlement les principes scientifiques et déontologiques de l’enquête par sondage. Les enseignements qu’elle indique reflètent un état de l’opinion à l’instant de sa réalisation et non pas une prédiction.

Echantillon

Il est de 504 personnes, représentatif de la population d’Aix-en-Provence âgée de 18 ans et plus, inscrite sur les listes électorales. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage) après stratification par canton.

Mode de recueil

Les interviews ont eu lieu par téléphone au domicile des personnes interrogées.

Dates de terrain

Du 26 au 27 février 2008

Avertissement

L’Ifop rappelle que les résultats de cette enquête doivent être interprétés comme une indication significative de l’état des rapports de force actuels dans la perspective du prochain scrutin municipal à Aix-en-Provence. En aucun cas, ils ne constituent un élément prédictif des résultats le jour du vote.

- 2 - LES RESULTATS DE L'ETUDE

      

Les résultats de l'étude

L’intention de vote au premier tour des élections municipales

QUESTION

Si dimanche prochain devait se dérouler le premier tour de l’élection municipale pour élire votre Maire, ici à Aix-en-Provence, pour laquelle des listes suivantes y aurait-il le plus de chances que vous votiez ?

La liste d’extrême gauche conduite par Aude Charcosset,

soutenue par la Ligue Communiste Révolutionnaire ........................... 2%

• La liste conduite par Alexandre Medvedowsky, soutenue par

le Parti socialiste, le Parti communiste, le Parti radical de gauche et les Verts

.......................................................................................................... 30%

• La liste de gauche conduite par Michel Pezet et Jean-François Picheral

.......................................................................................................... 14%

• La liste conduite par François-Xavier de Peretti

soutenue par l’UDF-MoDem .............................................................. 20%

• La liste conduite par Maryse Joissains-Masini

soutenue par l’UMP et le Nouveau Centre

.......................................................................................................... 31%

• La liste divers droite conduite par Maryse Galland-Mourbrun ........ 1%

• La liste de la droite aixoise conduite par Jean-Louis Garello ......... 2%

                                                                           TOTAL 100%

4 février 2008

Canton Aix-Centre : Notre premier document…

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(Clic sur chaque image pour agrandir et lire)

      

Les règles de candidature pour les élections cantonales ont un peu changé. Dès cette année, sur le modèle des législatives, chaque titulaire doit faire équipe avec un remplaçant du sexe opposé.

Nous sommes étonnés de constater que d'autres candidats pour le canton Aix-Centre n'aient produit leurs affiches qu'avec leur seul visage alors que les noms de leurs remplaçantes sont connus. Pourvu qu'elles ne soient pas déjà... en désaccord avec eux ! Ou, on ose à peine l'imaginer, ce sont peut-être leurs photographes qui ont mal... cadré les portraits, qui sait ?

Quoi qu'il en soit, Danielle et moi avons décidé de figurer ensemble sur tous nos documents. C'est quand même plus sympathique, non ?

NOS PROCHAINES RENCONTRES AVEC LES HABITANTS

------- Encagnane -------

Vendredi 8 février à 18h au bar "Le Mansard"

------- Quartiers Nord -------

Samedi 9 février à 14h30 au café-restaurant "Le Tourbillon"

------- Centre-ville -------

Samedi 9 février à 19h au "Bar-tabac du Palais"

------- Permanence tous les jours -------

Local de campagne, Place Romée de Villeneuve, Encagnane

Téléphone : 06.88.23.67.64

16 novembre 2007

"Pollution et Santé", le débat enfin dépollué

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(Clic sur l'image pour agrandir)

Michel Pezet, Danielle Rumani-Elbez et le Dr Patrice Halimi

Aix-en-Provence produit 40% de la pollution qu'elle subit. Les autres 60% ont pour origine principale les bords de l'Etang de Berre. Contrairement aux idées reçues, le mistral ne chasse pas l'air vicié aixois. Notre ville forme une cuvette où la pollution stagne durablement.

Ce sont quelques-uns des propos entendus hier soir au Jas de Bouffan où se tenait  la première réunion thématique organisée par l'équipe de Michel Pezet.

Devant une salle pleine malgré le mauvais temps, Danielle Rumani-Elbez a animé cette rencontre et introduit le sujet de la soirée "Pollution et Santé". Elle a d'abord présenté les règles internationales et nationales qui s'appliquent aux antennes relais. Elle a ensuite cité quelques exemples de villes qui ont adopté des mesures liées au principe de précaution, notamment Paris.

Enfin, elle a rappelé comment nous avons porté sur la place publique le débat sur les dangers de la téléphonie mobile. La mairie a fait semblant de créer une commission, qui a mal fonctionné. Il n'en est rien sorti de positif car, à aucun moment, Maryse Joissains n'a manifesté la moindre volonté politique.

Prenant à son tour la parole, le Docteur Patrice Halimi, président de l'ASEP (Association Santé Environnement Provence, créée il y a à peine un an et qui compte déjà 300 médecins membres) a fait un brillant exposé insistant sur quatre points : transports publics, antennes relais, climat et pesticides.

Illustrant son argumentation à l'aide de cas concrets, dans un langage direct et non dénué d'humour, il a clairement signifié que nombre de ces problèmes ne relèvent pas de la fatalité. Il est possible d'agir pour peu qu'on le veuille et qu'on s'en donne la peine.

Selon lui, il faut écarter les mesures au coup par coup et traiter, sans faiblir et de manière globale, tous les risques et les dangers pour la santé, entre autres, les multiples pathologies liées aux difficultés respiratoires, aux diverses allergies, à certaines formes de cancers, et aux produits alimentaires pollués…

Ainsi a-t-il évoqué la qualité environnementale de l'habitat, la réduction de la voiture en centre ville, les modes propres de déplacements collectifs, la mise en réseau des acteurs de la vie publique et l'information permanente de la population.

En tant que pédiatre, le Dr Halimi a pu constater combien il était nécessaire de protéger l'ensemble de la population, notamment les enfants, premières victimes d'un environnement dégradé et néfaste.

Après un échange avec le public, Michel Pezet a formulé des propositions allant dans le sens des deux intervenants qui l'avaient précédé. Il a martelé qu'on ne peut plus attendre et qu'il inscrit ce combat comme une priorité.

Il a décidé de mettre en place tous les outils d'action et de contrôle pour que la qualité de la vie retrouve un sens. Pour lui, "le rôle d'une municipalité est essentiel, on ne peut pas tout le temps rejeter la faute sur les autres et s'en remettre uniquement à d'autres décideurs."

Au total, ce premier débat public aura eu l'avantage de poser les bonnes questions et de commencer à envisager enfin des réponses efficaces.

                               

En savoir plus sur l'ASEP :

http://santeenvironnement.fr/joomla_ASEP/index.php

5 février 2008

Les mensonges de campagne, ça suffit ! (1)

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(Clic sur l"image pour agrandir)

Les Radicaux de gauche de la liste Michel Pezet avec Jean-François Picheral :

Laurent Escande, Danielle Rumani-Elbez, Jacqueline Ollivier,

Jacques Poletti et Lucien-Alexandre Castronovo

Qui n'a jamais vu le sublimissime Arturo Brachetti dans ses œuvres ne peut pas vraiment comprendre. Sur scène, ses numéros de transformisme sont époustouflants ! En moins d'une seconde, il devient un autre, puis un autre, et encore un autre… Mais, comment fait-il ? Mais, quel est donc son secret ? Ces derniers jours, coup sur coup, deux événements de la campagne m'ont fait penser à lui. Sauf que, question magie, c'était raté. 

A gauche

La liste de 55 noms transmise à toute la presse par l'entourage d'Alexandre Medvedowsky signalait la présence de trois candidats membres du Parti radical de gauche à ses côtés. Le problème, c'est qu'un colistier ne l'est pas et un rectificatif l'a précisé dans la presse. Mais, regardant la vidéo de présentation de chaque membre de cette liste, j'ai découvert qu'un message incrusté sur l'image de ce même colistier indiquait qu'il était toujours estampillé PRG. Je m'en étonne encore mais je ne m'en chagrine pas. Je sais que cette personne, que je respecte, a demandé que cela soit corrigé.

Dans cette même vidéo, on voit et on entend Alexandre Medvedowsky soi-même adouber le seul PRG en situation éligible, censé être, je cite, "le leader aixois du PRG". Et d'ajouter, suivez mon regard : "Et tous ceux qui prétendent être au PRG et qui font des choix différents pour aller se tourner vers la droite et faire des choix bizarroïdes, ils ne sont pas au PRG. Le PRG, c'est lui !" Plus bateleur et plus mauvais copain, on ne fait pas !

La vérité est moins flamboyante. Cette fonction n'existe ni dans les statuts du parti, ni dans la réalité. Asséner le contraire frise le cocasse. Parer un moineau de grandes plumes n'en fait pas un paon. D'ailleurs, les Aixois pourraient utilement demander les états de service de ce colistier surpris en train de brader un logo contre une seule place éligible… pour lui-même. Où sont les troupes qu'il dirigerait ? Ah, oui, il y a l'autre et unique colistière radicale, que je ne connais pas, placée en fin de liste et étiquetée PRG depuis quelques minutes. Un point, c'est tout.

Ne leur en déplaise, sur la liste de Michel Pezet, nous sommes cinq radicaux de gauche bien réels dont quatre en position éligible avec deux élus sortants. Les Aixois savent qui nous sommes, même sans logo.

A droite

Y allant à l'estomac, comme Alexandre Medvedowsky, la magicienne Maryse Joissains s'est également risquée à son petit tour de passe-passe. Commentant la composition de sa liste, elle n'a pas hésité à prétendre avoir dans son équipe deux ralliées venant du MRG (ancien nom du PRG).

En moins de deux, tout comme ces artistes qui font subir des changements instantanés de robes à leurs partenaires, elle a emballé les deux braves dames dans de nouveaux habits qui sont loin d'être les leurs. Le public en est resté bouche bée. Mais, évidememnt, là encore, il y a un truc.

Alors, de qui s'agit-il ? L'une est Dahbia Draouzia, adjointe aux affaires sociales, qui n'est plus membre de notre parti depuis au moins une douzaine d'années et qui a rejoint la maire UMP en 2001. L'autre, Catherine Silvestre, bien silencieuse dans l'opposition, passée par les coulisses pour aider la première à ouvrir grand la porte à droite, n'a jamais été adhérente ni du MRG, ni du PRG.

Et voilà comment, en deux coups de baguette, on a essayé de tromper tout son monde. Pas très honnête, tout ça ! Là, je le dis, les mauvais numéros de cabaret, ça suffit !

15 mars 2008

Canton Aix-Centre : Mise au point

Samedi matin

Nous sommes scandalisés de découvrir, ce samedi, veille du second tour, un tract de dernière minute, largement distribué dans les boîtes aux lettres des quartiers d'Encagnane et de la Figuière, émanant de Bruno Genzana et portant la signature de sa suppléante à l'élection cantonale d'Aix-Centre.

En complet désaccord avec ces méthodes, nous donnerons toutes les suites juridiques qui conviennent à cette manœuvre. Nous continuons à faire confiance à nos électrices et électeurs pour qu'ils fassent leur choix librement et en toute conscience.

                                                   Danielle RUMANI-ELBEZ

                                                   Lucien-Alexandre CASTRONOVO

Voici le tract

(Clic sur l'image pour agrandir)

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30 octobre 2007

Joissains, entre astre et désastre

joissains

Et maintenant, elle exporte ses "marysades" à Marseille

C'est bien connu, Maryse Joissains ne fait pas toujours les choses comme tout le monde. J'ai raconté ici même son plantage dans l'opération "Marseille Provence, capitale européenne de la culture" (lire mon article du vendredi 26 octobre, ci-dessous).

Des témoins présents vendredi dernier à la réunion d'annonce officielle de la candidature marseillaise m'ont rapporté qu'elle n'a pas fait mieux sur la scène de l'Opéra. Sa prise de parole décousue devant un parterre d'élus, d'acteurs du monde culturel, de chefs d'entreprise et de la presse a été peu appréciée.

Le public l'a d'abord chahutée et, tapant dans les mains, lui a en quelque sorte signifié d'abréger. Se méprenant sur le sens de ces fausses acclamations, Maryse Joissains s'est crue... encouragée à poursuivre. C'est alors que le même public a commencé à produire quelques sifflets à son endroit, au point que le maître de cérémonie lui a fait comprendre qu'il fallait qu'elle mette un terme à son intervention. Elle a persisté, lançant "on ne m'empêchera pas de dire ce que j'ai envie de dire !"

Au micro, Jean-Noël Guérini, lui, a fait court. Mais il n'a pas manqué l'occasion de se payer la tête du maire d'Aix : "C'est ça, l'efficacité politique, madame Joissains !" Bref, les Aixois ne peuvent plus ignorer à quel point Maryse Joissains les représente dignement, même hors la ville.

Miroir, miroir, dis-moi que je suis la meilleure

Dans sa très longue interview publiée samedi dans "La Provence", Maryse Joissains, connue pour se vanter d'être modeste, s'est lâchée comme jamais.

A la question : "Députée, maire, présidente de la CPA… ça ne fait pas un peu trop pour une seule femme sur une longue période ?", elle n'a rien trouvé de mieux à répondre que ceci : "Non et je crois l'avoir démontré. J'ai été bien présente sur mes trois mandats depuis que je les ai et je me sens encore de les assumer quelques années, d'autant que je peux encore rationaliser mon organisation de travail et renforcer l'équipe autour de moi pour ne rien négliger."

Evidemment, parler de soi en ces termes ne peut relever que de la coquetterie, de rien d'autre… Mais la suite de sa réponse est venue invalider mon opinion bienveillante. Commentant l'idée qu'elle se fait d'elle-même, elle y est allée d'un couplet qui, depuis, a dû lui faire changer de pointure de chaussures, côté des chevilles.

"D'abord, parce que j'estime être plus intelligente, plus compétente, plus expérimentée et plus travailleuse que mes adversaires. Ensuite, parce que je considère mes mandats comme un sacerdoce. Pour les assumer, j'ai renoncé à tout le reste. Je ne m'accorde qu'un bref repos en été. Le reste, c'est tout pour la ville, le pays d'Aix et l'Assemblée, jour et nuit."

Nous, qui la voyons à l'œuvre depuis six ans, savons qu'elle n'arrive pas à mener toutes ses responsabilités de front.

Comme je l'ai raconté à plusieurs reprises ici même, et je suis loin d'être le seul à l'avoir observé, j'ai constaté qu'elle ignore très souvent la teneur de nombreux dossiers. Alors, elle s'embarque dans des discussions erronées.

Lorsqu'on le lui fait remarquer elle est obligée de faire appel aux fonctionnaires placés derrière elle pour obtenir les renseignements qu'elle aurait dû connaître. Certes, elle rectifie ses propos antérieurs mais se trouve toujours une excuse : "Je n'avais pas compris…", "on m'avait mal expliqué…", "j'ai confondu…", je peux pas tout savoir…"

Je reconnais bien volontiers que je ne fais personnellement rien pour l'aider, notamment en relevant systématiquement ses déclarations imprécises, ses contradictions flagrantes ou ses mensonges. Je suis même forcé parfois de lui rappeler quand un dossier nécessite un vote ou non, sans parler des obligations de base à respecter dans le déroulement de l'ordre du jour.

Conclusion : on dit que certaines personnes se trouvent si belles que le miroir se casse. Plus de doute, Maryse Joissains possède elle aussi un miroir mais ce n'est pas pour… réfléchir.

1 avril 2008

En passant par la place de l'Hôtel de Ville…

Je n'étais pas passé par la place de l'Hôtel de Ville depuis le second tour de l'élection municipale. Bien m'en a certainement pris, hier après-midi, où j'ai rencontré plusieurs personnes, certaines que j'aime bien – pas forcément de gauche, d'ailleurs – et d'autres que je n'ai fait que saluer, si vous voyez ce que je veux dire.

J'étais à mille lieues d'imaginer que, m'approchant de ce rempart étanche et stratégique, j'allais y recueillir si vite autant de propos et de confidences comme on en lâche, toutes les minutes, sans retenue et avec délectation, dans notre bonne ville. Je ne veux pas dire par là que je m'y suis rendu par intention. Mais le hasard faisant bien les choses, et alors qu'un air de Schubert lancinait dans ma tête depuis le matin, j'ai eu la primeur de quelques nouvelles qui ne semblent pas encore être arrivées sur les étals de la presse.

         

poisson

Pour que les traditions ne se perdent pas, rien de mieux que des poissons vrais...

               

Et, je peux bien l'avouer, je ne regrette pas un instant d'avoir eu à endurer cette pluie factice et grise qui, le monde entier le sait, nous agace tant et plus, nous, les Méditerranéens. Coup sur coup, deux élus de la nouvelle majorité, déjà un peu anciens mais pas vraiment muets-comme-une-carpe, m'ont raconté, sous couvert de préserver leur anonymat, ce qui se passe dans les coulisses.

D'abord, j'ai appris que la distribution des délégations ne va pas sans poser quelques problèmes : un peu comme Olivier Naslès qui s'est retiré de l'aquarium parce qu'il n'a pas eu ce qu'on lui avait promis, un ou deux colistiers mécontents refuseraient de passer pour du menu fretin et menaceraient eux aussi de ne pas rester le bec dans l'eau.

Puis, il m'a été murmuré qu'une entente en forme d'ouverture à la Sarkozy pourrait être trouvée entre Maryse Joissains et… Bruno Genzana pour tenter de refaire nasse ensemble. A mon avis, c'est sans doute là un tour de passe-passe visant à faire jouer à Genzana un rôle de poisson-pilote pour couler définitivement Stéphane Salord en influant sur lui pour qu'il retire son recours en annulation de l'élection municipale.

Ce pourrait être aussi une manière d'affaiblir le petit groupe de trois élus de François-Xavier De Peretti, cette seconde hypothèse paraissant tout aussi vraisemblable car il se dit qu'un membre ex-UDF de la majorité devrait sous peu siéger dans l'opposition aux côtés précisément de De Peretti.

Autre "fuite", Maryse Joissains s'apprêterait, au conseil municipal du 7 avril, à proposer une autre ouverture, en direction de l'opposition de gauche cette fois-ci, comme pour jeter, une fois pour toutes, les rancunes à la rivière. Elle se serait d'ailleurs targuée d'avoir "déjà réussi à intégrer depuis sept ans deux élus de la première équipe de Picheral et une autre du second mandat".

Prenant acte, avec délice, que, cette année, la liste de gauche s'était bel et bien abstenue de lui refaire le coup du recours, elle ne verrait désormais aucun inconvénient non plus à attribuer une responsabilité – voire une délégation technique – à un ou deux membres de la minorité, sur le modèle de ce qui s'est passé à l'Assemblée nationale avec la présidence de la commission des finances confiée à un député socialiste.

Ce serait là, de la part du maire, un joli coup de filet qui lui assurerait une sorte de pêche miraculeuse aux voix d'après second tour. Joissains y verrait un malicieux avantage : celui de lancer un autre gros hameçon vers la Communauté du Pays d'Aix où elle craint une opposition de gauche plus remontée et plus frétillante que lors du précédent mandat et qui a annoncé qu'elle allait enfin mordre.

Et ce n'est pas fini. Elle aurait aussi accepté, agissant ainsi à contre-courant de son refus antérieur, et histoire de leur faire avaler quelques arêtes, de désigner des membres de l'opposition dans divers organismes tels que l'OPAC Pays d'Aix Habitat et la Semepa, qui ont connu tant de soubresauts ces sept dernières années et dont les Aixois ne lui ont après tout pas tenu rigueur. Cette démarche, audacieuse s'il en est, pourrait tout simplement s'expliquer par la perspective du rapport en bonne et due forme que la Chambre régionale des comptes ne devrait pas tarder à publier et qui pourrait, dit-on, faire de grosses vagues.

Voilà, pour l'essentiel. Aussi, et afin d'éviter de plonger dans des eaux moins claires, je m'abstiendrai de vous livrer d'autres commentaires plus saugrenus qui, à mes yeux, seraient plus dignes du bar que de la politique.

26 novembre 2007

Des repères et des défis pour "Aix à venir"

Rencontre_Universites_et_Justice_22

(Clic sur l'image pour agrandir)

On reconnaît notamment, de gauche à droite, Michel Pezet (2),

le Professeur Pierre Choukroune (3), le Bâtonnier Jean-Louis Keita (5),

le Professeur Bruno Etienne (6) et Jean-François Picheral (7)

Justice et Universités : Les débats sont lancés

Débattre et rencontrer les Aixois, tels ont été les temps forts qui auront marqué notre semaine. Jeudi, un public nombreux a répondu à notre invitation sur le thème de la Justice et des Universités. Nous avions invité d'éminentes personnalités pour placer le sujet à sa juste hauteur.

Un point a été fait sur l'évolution en cours de la carte judiciaire. Si Aix est épargnée par la suppression de tribunaux, il n'en faut pas moins traiter leurs localisations afin d'offrir des lieux décents de travail. On a appris que le projet du futur tribunal d'instance n'était qu'une maquette virtuelle et qu'aucun financement n'a encore été prévu !

Quant à la perspective de fusion de nos trois universités, elle a été au cœur des échanges, y compris avec la salle. Outre les enjeux et les formes de ce regroupement, a inévitablement été évoquée la nécessité de lier les problèmes de transports et de logement des étudiants.

Certains orateurs ont insisté sur les objectifs à viser, ceux de l'excellence dans tous les domaines. Beaucoup de choses restent à faire. Le prochain débat public prévu au Centre des congrès le jeudi 13 décembre portera sur le thème "Travailler, se loger, se déplacer en pays d'Aix". Je ne saurais trop le recommander à tous ceux qui tiennent à connaître nos propositions pour l'avenir d'Aix.

Jas de Bouffan : Le cadre de vie désespère la population

Pas un coin d'Aix où le cadre de vie ne pose problème. Et le diagnostic est encore plus aigu dans les quartiers de périphérie. Ainsi, en allant au Jas de Bouffan, à la rencontre des habitants des immeubles Castor, Pollux et Beltegeuse, nous n'avons pas été étonnés de relever les mêmes carences que dans d'autres quartiers.

Espaces verts à l'abandon, manque de collecte des détritus, réhabilitations insuffisantes, la liste des récriminations des habitants est longue. Certains logements subissent des fuites d'eau qui produisent régulièrement des inondations. Leurs locataires ont averti l'OPAC mais l'office ne fait rien et balade tout le monde.

Ce secteur, comme beaucoup d'autres, transpire le laisser-aller et la population nous fait part de son désespoir. Il va bien falloir y répondre…

Nous avons terminé notre matinée au grand marché, où nous avons pu prolonger nos échanges avec les habitants et leur parler de nos projets pour Aix. Pendant ce temps-là, d'autres membres de notre équipe ont continué à distribuer notre journal de campagne en divers points de la ville.

5 avril 2008

Rien n'échappe à "Arrêt sur images"

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Sur le net, l'équipe de l'émission "Arrêt sur images", toujours à l'affût, nous fait découvrir quelques dessous de l'actualité. Jetez un coup d'œil sur cette petite vidéo, puis sur la liste des autres vidéos à droite du même écran. Epatant !

http://www.dailymotion.com/video/x4xzvs_les-sarkozy-a-windsor_news

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